Études de cas juridiques

Bonjour que penser d'une élève qui passait son temps dans un bureau de chef d'établissement pour calomnier par écrit son professeur à son insu, qui obtient son bac pro avec mention AB après avoir hurlé à ses camarades de classe de "porter plainte" à tout va au point de pourrir l'ambiance d'une classe à examen en terminale bac pro sans compter ses difficultés scolaires qui sont contradictoires avec cette mention qu'aurait pu obtenir un élève ou une élève qui travaille avec régularité et qui de surcroît étalerait ses jambes sur un fauteuil en s'égosillant de rire devant un proviseur-adjoint nouvellement affecté depuis un peu plus d'un an ? A l'heure des réformes que penser de telles dérives où cette ancienne élève aurait encore ses entrées et sorties dans un EPLE ? Quelle légitimité ont les anciens élèves comme elle d'entrer et de sortir dans un EPLE où elle n'est plus inscrite ? Comment l'institution peut-elle interdire l'accès de manière pérenne aux anciens élèves dès lors qu'ils ont obtenu leurs diplômes ? Quand on a conscience du temps qu'il faut pour avoir un entretien professionnel avec un personnel de direction dans un EPLE public, laïc, quelles crédibilités pour ces nombreux enseignants calomniés, injuriés sur leur lieu de travail dans l'exercice de leurs fonctions voire par des parents sans réaction de la direction, sans remontée auprès du rectorat pour signaler un discours prosélyte d'une mère d'une élève durant une réunion dans un autre EPLE en zone urbaine sensible en raison de peurs, de menaces antérieurs contre des profs ? Que fait l'institution comme la direction dans ces deux cas précédemment cités ? Comment une direction peut-elle taire de tels agissements inadmissibles et qui pourrissent les conditions de travail d'enseignants ? Laxisme ou peur d'une direction dans ces deux EPLE au détriment du personnel et sous le nez du plan Vigipirate, de la sécurité des EPLE ? Qu'en pensez-vous ?

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